Schlacht bei Sidi Brahim
Die Schlacht von Sidi Brahim von Louis-Théodore Devilly
Die Schlacht von Sidi Brahim war eine Schlacht bei Sidi Brahim während der französischen Kolonialherrschaft in Algerien zwischen Truppen der Berber unter der Führung von Abd al-Qadir und französischen Einheiten unter Oberstleutnant Lucien de Montagnac von 22. bis zum 25. September 1845.
Den 450 Soldaten umfassenden französischen Truppen standen 10.000 Berber gegenüber. Schon im ersten Gefecht wurden die kolonialen Truppen auf 82 reduziert. Nur eine Handvoll französischer Soldaten konnten sich retten. In der französischen Geschichtsschreibung wird der Mut der Soldaten in dieser Schlacht hervorgehoben.[1]
Einzelnachweise
Auf dieser Seite verwendete Medien
Bataille de sidi brahim 1845 26 septembre.jpg
Le sujet de ce tableau a été emprunté à la relation du combat de Sidi-Brahim (26 septembre 1845) rédigée par le Duc d'Aumale pour la Revue des Deux-Mondes. "Le capitaine de Géraux, à la tête de 73 hommes de la 1ère compagnie du 8ème bataillon de chasseurs à pied, portant sept blessés, après s'être défendu pendant 3 jours dans le marabout de Sidi-Brahim, sans vivres et sans eau, contre toutes les forces d'Abd-El-Kader, essaie le 26 septembre 1845, à six heures du matin, de se faire jour à la baïonnette. Après un combat héroïque, à bout de forces et de munitions, tous les braves qui formaient la petite colonne tombent successivement autour des corps de leurs officiers, le lieutenant Chapedelaine et le capitaine de Géraux".
Le sujet de ce tableau a été emprunté à la relation du combat de Sidi-Brahim (26 septembre 1845) rédigée par le Duc d'Aumale pour la Revue des Deux-Mondes. "Le capitaine de Géraux, à la tête de 73 hommes de la 1ère compagnie du 8ème bataillon de chasseurs à pied, portant sept blessés, après s'être défendu pendant 3 jours dans le marabout de Sidi-Brahim, sans vivres et sans eau, contre toutes les forces d'Abd-El-Kader, essaie le 26 septembre 1845, à six heures du matin, de se faire jour à la baïonnette. Après un combat héroïque, à bout de forces et de munitions, tous les braves qui formaient la petite colonne tombent successivement autour des corps de leurs officiers, le lieutenant Chapedelaine et le capitaine de Géraux".