Ferdinand Gueldry

Das Gedränge von Molesey
Metallarbeiter

Joseph Ferdinand Gueldry (* 21. Mai 1858 in Paris; † 17. Februar 1945 in Lausanne) war ein französischer Maler und Illustrator.

Leben

Seine Eltern, Henri-Sophie-Frédéric-Victor Gueldry und Marie-Adele Ranck, waren elsässischer Herkunft. Von 1874 bis 1878 studierte er an der École des beaux-art de Paris bei Jean-Léon Gérôme.

Noch während des Kunststudiums wurde er ein eifriger Ruderer. Gemeinsam mit seinen Freunden gründete er 1876 auf der Marneinsel Fanac unweit von Joinville-le-Pont den Sportverein Société nautique de la Marne. Ab 1881 widmete er seine Malerei fast ausschließlich dem Rudersport. Den Zeitraum von 1880 bis 1890 verbrachte er in Bry-sur-Marne, wo er sein Atelier einrichtete und gleichzeitig seinen Sport ausüben konnte.

Er wurde zum internationalen Ruder-Schiedsrichter ernannt und besuchte mehrmals England, um an der königlichen Regatta von Henley teilzunehmen.

Stilistisch verwarf er den Gérôme-Akademismus und näherte sich dem Stil von Edouard Manet.

Ab 1885 begann er Szenen in den Fabrikinterieurs der Textil- und Metallindustrie zu malen. Es schuf auch einige Militärszenen.

Im Salon von 1898 erregte sein Gemälde „Die Bluttrinkerinnen“, die anämische Frauen darstellen, die das Blut eines Ochsen trinken, der in einem Schlachthaus geschlachtet wurde, Aufsehen.

1908 wurde er dank dem Vorschlag von Édouard Detaille zum Ritter der Ehrenlegion ernannt.

Während des Ersten Weltkrieges malte er Szenen aus den Kriegsschauplätzen, einschließlich Verdun.

In den 1920er Jahren präsidierte er der Freien Gesellschaft französischer Künstler, nachdem er 1907 aus der Gesellschaft französischer Künstler ausgetreten war.

Gueldry nahm am Salon des artistes français von 1889 teil und erhielt eine Medaille der 3. Klasse. Auf der Weltausstellung Paris 1889 gewann er eine Silbermedaille. Während der Weltausstellung Paris 1900 wurde er mit einer Silbermedaille ausgezeichnet. Auf internationaler Ebene stellte er während der Weltausstellungen von Chicago (1893), Antwerpen (1894), Brüssel (1897) und Saint-Louis (1904) aus. Er zeigte auch seine Werke in München (1888), St. Petersburg (1890) und Moskau (1892). 1912 nahm er am Kunstwettbewerb der Olympischen Spiele in Stockholm teil.

Literatur

Weblinks

Commons: Ferdinand Gueldry – Sammlung von Bildern, Videos und Audiodateien

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Identifier: gazettedesbeauxa58pari (find matches)
Title: Gazette des beaux-arts
Year: 1886 (1850s)
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Subjects: Art Collectors and collecting
Publisher: (Paris, s.n.)
Contributing Library: Wellesley College Library
Digitizing Sponsor: Boston Library Consortium Member Libraries

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Text Appearing Before Image:
us qui lui ferons un crime de chercherses effets sous un autre jour que celui de latelier, mais encoresommes-nous en droit de constater que sa peinture pose une énigmeet quil semble avoir inutilement pris plaisir à la rendre incompré-hensible. Voici ce que nous croyons voir dans le tableau de M. Besnard :La scène est divisée en deux parties égales : à droite une salle àmanger vitrée, probablement éclairée par des lampes; à gauche uneterrasse donnant sur un parc, dont les grands arbres sestompent dansle mystère dune nuit bleue. Mme R. J. se présente de face, le corpsémergent du milieu éclairé dans un mouvement de grande animationqui nest pas sans grâce. Sur sa jupe rose (est-elle rose?) dune char-mante envolée, éclate le conflit des lumières disparates que le peintrea mises en présence : quant aux chairs nues, le visage, la poitrineet les bras, elles sont franchement jaunes. Tel est dans ses lignesessentielles le délicat problème que M. Besnard soumet au public,
Text Appearing After Image:
LE DÉCAPAGE DES MÉTAUX, PAR M. GUELDRY. (Dessin do Lartiste. 464 GAZETTE DES BEAUX-ARTS. après avoir lui-même essayé de le résoudre. Faut-il sétonner queson tableau soit généralement peu compris et que les peintres seulsparviennent à discerner le talent très réel qui se cache sous esdehors excentriques ? Pour M. Whistler, cest autre chose : son rêve parait être pourle moment de faire de la peinture en supprimant la lumière et tousles tons qui ne sont pas de grand deuil. Son Portrait de M. Sarasateest une sorte dapparition du célèbre violoniste évoqué par quelquemédium dans une séance de spiritisme. La silhouette de M. Sarasateest très ressemblante et dun dessin élégant, je le reconnais, mais ilfaut regarder attentivement, car on ny voit goutte dans le tableau.Cette symphonie en noir nous met du noir dans làme ; et dire queM. Whistler expose à Londres de délicieux portraits clairs dejeunes femmes décolletées! Que lui avons-nous donc fait? Pourquoinous trait

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